THÉÂTRE

 

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PIECES ORIGINALES ADAPTATIONS MONTAGES
MISES EN SCÈNE COMPAGNIES THÉÂTRALES  

 

PIECES ORIGINALES

EGALEMENT MISES EN SCENE PAR JEAN-LOUIS SARTHOU

  • Flammes de braise, Danielle face contre pile, Nocturne, Les grands instants de la SPAG, pièces en un acte créées en 1966 à la MJC Paris-Charonne.
  • Feu la blanche et Prise de vues. Soixante représentations au café-théâtre du Bar du Centre, pendant le Festival d’Avignon de 1967. Tournée en France.
    Feu la blanche a été diffusée sur France-Culture en 1967.
    Les deux pièces ont été éditées par Paris-Théâtre en 1968 (n°254).
    Feu la blanche a été reprise par le Théâtre de Fortune, dans une mise en scène de Guy Cambreleng.
    « Ces deux œuvres ne sont point issues d’un cerveau où les mots trahissent encore une pensée qui se cherche, l’art y est mûri. Elles ont été fort bien accueillies par le public du Festival, un public d’initiés. » (LE DAUPHINE LIBERE)
  • Le Système du Père Noé. Ecrite avec Edouard Berreur et Dany Tayarda. Vingt représentations au Studio d’Ivry en 1973.

Dany Tayarda et Daniel Langlet dans Feu la Blanche

PIECES ORIGINALES DONT IL N’A PAS FAIT LA MISE EN SCENE

 

ADAPTATIONS

EGALEMENT MISES EN SCENE PAR JEAN-LOUIS SARTHOU

  • Les Eclats du miroir, d’après Lewis Carroll. Scénographie d’Edouard Berreur. Cent représentations au Studio d’Ivry et en région parisienne (1973-74).
    « Une remarquable réussite. Le voyage d’Alice du réel au rêve (ou du rêve au réel ?) est la découverte, critique et féroce, de la bourgeoisie victorienne et de ses hypocrisies. C’est aussi une révélation de la diversité des niveaux du langage, de son ambiguïté, de tout ce qu’il cache quand on croit qu’il dépeint. » (LA MARSEILLAISE)

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    Dany Tayarda et Michel Brothier dans Les Eclats du miroir

Marie Hermès et Dany Tayarda dans Les Eclats du miroir
  • La Fable de Libre-Gueule, d’après Les Voyages de Gulliver de Jonathan Swift. Scénographie d’Edouard Berreur. Deux cents représentations au Studio d’Ivry, en Ile-de-France et à la Maison de la Culture de Chambéry.
     
    « Grave, souriant, riche de clins d’œil et d’ambiguïtés tout à fait délibérées, le récit qui nous est fait témoigne d’une verdeur et d’un pittoresque que la mise en scène de Jean-Louis Sarthou a l’intelligence de souligner en ne changeant rien à la naïveté apparente du propos, ce qui doit bien être un des secrets de son humour.(…) Soutenu par quatre poteaux, l’Union Jack, à la fois protection et menace, nous confirme dans le sentiment de l’arrogance anglaise, et de la dérision de sa dignité si, d’aventure, quelques géants, quelques Lilliputiens exotiques s’avisent de confronter leur morale politique à la sienne propre. Un minuscule bateau enfantin vogue dans sa cuvette d’eau bleue. Pourtant nous ne perdons rien de son écume salée.  » (LE QUOTIDIEN DE PARIS)

Michel Brothier, Raymond Bisbal et Dany Tayarda
dans La fable de libre-gueule

Raymond Bisbal et Dany Tayarda dans La fable de libre-gueule
  • Lancelot, un itinéraire. Décor: Didier Vesse. Quatre-vingt représentations en région parisienne (1975).
  • Grandeur et échec du royaume d’Artus. Décor: Didier Vesse. Trente représentations au Studio d’Ivry (1976).
  • Martin Eden, d’après Jack London. Scénographie: Georges Rech. Cent cinquante représentations au Studio d’Ivry et en tournée nationale (1976-78).
     
    « Pour traiter ce thème de l’artiste incompris, Jean-Louis Sarthou, adaptateur et metteur en scène, a monté un spectacle en tous points admirable. La vie de Martin est découpée en une suite de tableaux qui s’enchaînent à un rythme accéléré. Chaque détail de la mise en scène est une merveille d’invention. Une malle d’osier, un immense drap blanc, deux panneaux décoratifs, quelques marionnettes joliment caricaturées, suffisent à créer l’atmosphère d’une bibliothèque, d’une blanchisserie ou d’un salon bourgeois. » (FRANCE-SOIR)
    « De cette belle histoire Jean-Louis Sarthou a tiré l’un des spectacles les plus originaux et les plus jolis que l’on puisse voir actuellement. Deux toiles peintes, une dizaine d’accessoires, trois comédiens et quelques marionnettes suffisent à nous faire rêver aux milieux les plus divers de l’Amérique à l’aube du XX° siècle : les émigrants pauvres, les petits-bourgeois enrichis, les bourgeois libéraux, les prolétaires et les marins. Une fraîcheur et une richesse d’invention qui nous émerveillent sans cesse.» (TELERAMA)
    «  C’est une entreprise pleinement réussie que cette lecture à plusieurs voix, à laquelle se livrent avec ferveur les trois comédiens qui interprètent trente-six rôles. » (L’HUMANITE)

    La pièce a été reprise par le Théâtre de l’Epi d’Or à Paris et pendant le Festival d’Avignon, dans une mise en scène de Patrice Fay. (1992).

Frédéric Girard, Dany Tayarda
et Raymond Bisbal dans
Grandeur et échec du royaume d'Artus

Dany Tayarda et Georges Beauvilliers
dans Martin Eden

Frédéric Girard et Dany Tayarda
dans Martin Eden
  • La Mère, d’après Maxime Gorki. Soixante représentations (1977).
  • Les Mystères de Marseille, d’après Emile Zola. Cent représentations à Paris (Maison
    des Amandiers), en tournée nationale et au Liban (1978-80).
     
    « La présence sur scène des trois comédiens transcende leur nombre grâce au procédé de Jean-Louis Sarthou : une présence vivante de mannequins en bois. Cette invention donne une vie grouillante à tout le spectacle en faisant exploser les traditions théâtrales.(…) La vision de Zola est présentée dans un moule libéré, éclairé, dans lequel les événements historiques sont soumis à la critique. Jean-Louis Sarthou a mis en œuvre une mine d’idées originales débouchant sur des situations théâtrales amusantes et distrayantes. Sa démarche est animée par une vue analytique et progressiste, ironique et sévère. » (AN NAHAR)

Dany Tayarda dans
Les Mystères de Marseille

Daniel Leduc, Dany Tayarda
et Michel Papineschi dans
Les Mystères de Marseille
  • Boubou et Pécuche en Basse-Normandie, d’après Bouvard et Pécuchet, de Gustave Flaubert. Cent représentations au Théâtre Marie-Stuart (Paris), en tournée nationale et en Afrique (1980-81). Reprise au Théâtre à Orly en 1983 dans une scénographie d’Yves Charnay.
     
    « Avec trois bancs, deux bureaux d’école et un tableau noir, un trio d’acteurs remarquables dans leur rigueur nous restitue sur un mode comique le roman de Flaubert. Magie des signes et de la parole, il faut aller voir ce spectacle à la fois drôle, cocasse, parfois même émouvant. » (LES NOUVELLES LITTERAIRES)
    « On rit, comme il se doit, à la délirante dénonciation de l’insondable bêtise de Bouvard et de Pécuchet. Dévastateur, impitoyable, et finalement émouvant spectacle. » (TELERAMA)
    « Boubou et Pécuche sont de véritables silhouettes de cirque, ahurissantes et bouleversantes dans l’authenticité de leur délire. » (OUEST-FRANCE)
    « Nous pourrons désormais soutenir qu’il est impossible de rester de glace devant Bouvard et Pécuchet. Ou alors ils étaient faits pour le théâtre. La sottise y est cernée, débusquée, avec intelligence et précision. Une succession de tableaux courts, à l’écriture incisive, qui taille dans le vif de l’existence et de Flaubert. Vive le théâtre ! » (RENNES-POCHE)
    « Le théâtre, s’il est à l’occasion discours, est d’abord discours d’images, espace lisible, langage des corps. L’entreprise de Jean-Louis Sarthou est exemplaire. Elle n’offre jamais tout le roman ; elle délimite un territoire, trace une direction, nous fait épouser la dynamique d’un trajet. L’espace spécifique de BOUBOU et PECUCHE est celui du recommencement sans cesse construit, sans cesse déconstruit, comme les éternelles expériences des éternels vieux étudiants, jusqu’au moment où se fixe enfin l’espace de l’écriture, qui est le point final du roman de Flaubert, le bureau à double pupitre où couler enfin le monde entier et la vie humaine en matière scripturale. Flaubert est là, en esprit et en vérité. Heureux ceux qui d’abord regardent et écoutent : le royaume du théâtre est pour eux. » (Bernard MASSON, professeur à l’Université de Nanterre.)

Jean-Pierre Taste, Dany Tayarda et Olivier Proust dans
Boubou et Pécuche en Basse-Normandie

Daniel Dubois et Olivier Proust dans
Boubou et Pécuche en Basse-Normandie
  • Morte à Yonville, d’après Madame Bovary, de Gustave Flaubert. Assistantes à la mise en scène : Agnès Boury et Marie-Françoise Bros. Cinquante représentations en 1981 à la Paris (Cité Universitaire) et à la Maison des Arts et de la Culture de Créteil.
     
    « Second volet d’un diptyque remarquablement et drôlement ouvert avec Boubou et Pécuche en Basse-Normandie, cette danse de mort est menée par le morne Charles Bovary, avec son ami pharmacien Homais en compagnie de quelques autres mâles, tous aussi médiocres, veules et finalement dangereux , autour de la personne d’Emma Bovary. Jean-Louis Sarthou a réglé avec maîtrise ce ballet macabre qui tourbillonne autour d’un silo à fumier recouvert d’une bâche en plastique. Sa direction d’acteurs est toujours aussi précise et rigoureuse. » (LES NOUVELLES LITTERAIRES)
    « Emma Bovary ressuscite sous le regard pénétrant de Jean-Louis Sarthou, sans excès de romantisme, mais avec une justesse de vue qui n’exclut ni la dérision ni le tragique. Dany Tayarda – la prisonnière de Yonville – tout à tout impatiente, sensuelle, solitaire, affolée, nous oblige à croire à son personnage. Un spectacle attachant et cruel.» (L’ECONOMIE)
    « L’excellente Compagnie Dany Tayarda - Jean-Louis Sarthou replace la vraie question de la responsabilité indirecte de la mort-suicide d’Emma Bovary dans le cadre de la micro-société provinciale de l’époque. » (LA VIE OUVRIERE)


Daniel Leduc, Dany Tayarda,
Frédéric Girard et Gérard Dauzat
dans Morte à Yonville

Gérard Dauzat, Dany Tayarda, Olivier Proust
et Frédéric Girard dans Morte à Yonville

Dany Tayarda dans
Morte à Yonville
  • Le Voyage à Paimpol, d’après le roman de Dorothée Letessier. Création musicale de Nicolas Frize. Scénographie de Louis Taulelle. Trente représentations au Théâtre à Orly, au Centre d’Animation Culturelle de Saint-Brieuc et en tournée en Bretagne (1983).
     
    « Ce spectacle a sublimé le texte du Voyage à Paimpol, les symboles y sont éclairés et l’esprit du livre y est étonnamment respecté. Allier respect du texte, théâtralité de la mise en scène et force du jeu scénique est déjà un tour de force. Mais en outre la réussite est originale à tous points de vue... (ARMOR MAGAZINE - RADIO LITTORAL)

Bruno Sachel et Cathy Bodet dans
Le Voyage à Paimpol

Catherine Carrée, Rosine Proust, Anita Angela, Cathy Bodet, Dany Tayarda et Bruno Sachel dans Le Voyage à Paimpol

Catherine Carrée et Dany Tayarda dans
Le Voyage à Paimpol

ADAPTATIONS DONT IL N’A PAS FAIT LA MISE EN SCENE

  • Cymbeline, de Shakespeare. Musique d’Henri Sauguet. Mise en scène de Jacques Sarthou. Chorégraphie de Cristian Uboldi. Trente représentations au Théâtre Firmin Gémier d’Antony en 1967.
     
    « On ne peut qu’associer dans un même chaleureux éloge tous les comédiens de cette vaste entreprise, l’habile adaptation de Jean-Louis Sarthou et la musique d’Henri Sauguet. » (L’AURORE)
    « Un texte spirituel de Jean-Louis Sarthou. » (B.Poirot-Delpech - LE MONDE)

  •  
  • Le Miracle de Théophile, de Rutebeuf, mis en scène par Jacques Sarthou pour l’inauguration du Théâtre Rutebeuf de Clichy-la-Garenne (1968).
  • La Bête de la jungle, d’après Henri James. Non représentée.

Jean-Claude Drouot dans Cymbeline

 

MONTAGES

EGALEMENT MIS EN SCENE PAR JEAN-LOUIS SARTHOU

  • Poésie phonétique au XX° siècle. Théâtre-Poème de Bruxelles (1968).
  • Le Peuple du blues, poésie afro-américaine. Théâtre-Poème de Bruxelles et tournée en Belgique (1968-69).
  • Perspective Poésie Siècle XX°, textes issus de 60 ans d’avant-garde littéraire, produit par le Théâtre de l’Ile-de-France en 1969. Scénographie d’Edouard Berreur. Représentations au Théâtre Firmin Gémier d’Antony et en région parisienne.

Raymond Bisbal, Michel Brothier, Dany Tayarda et Raymonde Reynard dans Perspective Poésie Siècle XXième
  • Victor Hugo, la volonté d’enseigner et la volonté de plaire, produit par le Théâtre de l’Ile-de-France en 1970. Représentations au Théâtre Firmin Gémier d’Antony et en région parisienne, puis retransmis par l’ORTF.
  • Beau comme la rencontre fortuite…, rétrospective des écoles littéraires expérimentales du futurisme au lettrisme. Scénographie d’Edouard Berreur. Une centaine de représentations dans des établissements scolaires secondaires d’Ile-de-France (production CARRN, 1972-73).
  • Victor Hugo, actualité d’un combat. Lectures-animations dans des lycées à partir de textes politiques de Victor Hugo. Co-production CARRN et Théâtre de Boulogne-Billancourt (1972).

Raymonde Reynard, Jean-Pierre Hecki, Michel Brothier
et Dany Tayarda dans Victor Hugo,
la volonté d'enseigner et la volonté de plaire

Michel Brothier, Dany Tayarda, Jean-Louis Sarthou
et Rosine Proust dans Beau comme la rencontre fortuite...

 

MISES EN SCÈNE

  • Le Boulevard du Surréalisme, de Maurice Lemaître (création).
  • Vous m’oublierez, d’André Breton et Philippe Soupault.
  • Tous ensemble au bout du monde, de Philippe Soupault (création).
  • Le Cœur à gaz, de Tristan Tzara.
    Ces quatre pièces ont été jouées en 1968 au café-théâtre Le Colbert (Paris), dans une scénographie d’Edouard Berreur.
  • L’Ascension du phénix M.B., de Maurice Lemaître. Scénographie d’Edouard Berreur, décors de Maurice Lemaître et Edouard Berreur. Biennale de Paris 1969.
    « C’est une pièce où tout éclate à la fois. C’est la première expérience de théâtre total, c’est-à-dire où le nœud anecdotique traditionnel est rompu, où tous les éléments retrouvent leur liberté, simultanément. Texte et gestes vivent leur vie, respirent enfin. (…) Cela ouvre des horizons nouveaux, des définitions nouvelles de l’art théâtral. Cette tentative peut marquer une étape importante dans l’évolution de notre théâtre contemporain. A condition qu’on lui permette de se manifester souvent et partout. » (COMBAT)
    «  L’ASCENSION DU PHENIX est mis en scène avec beaucoup d’intelligence, d’esprit et de trouvailles heureuses. Le jeune Jean-Louis Sarthou, qui a su brillamment tout orchestrer, s’est montré à la hauteur des difficultés posées par ce polylogue à impliques d’un lettrisme dramatique qui a découvert sa voie. » (PARIS-THEATRE)

Jean-Louis Sarthou, Daniel Langlet, Jean-Claude Palcowski
et Dany Tayarda dans Le Boulevard du surréalisme

Daniel Langlet et Dany Tayarda dans L'Ascension du phénix M.B.
  • Le Prix Martin, d’Eugène Labiche. Musique de François Proust. Scénographie d’Yves Charnay. Théâtre à Orly (1984).  
     
    « Jouée par d’excellents saltimbanques véritablement labichiens, la mise en scène de Jean-Louis Sarthou a des idées neuves, qui ont la géniale politesse de ne pas étouffer le rire. » (LE MATIN)
    « A côté du vaudeville traditionnel qui nous faire rire (et on ne s’en prive pas), Labiche-Sarthou nous présentent une satire de la société petite-bourgeoise. (…) Jean-Louis Sarthou utilise à fond le texte de Labiche, sans fioritures inutiles, dans toute sa modernité. Le spectacle nous éclabousse de drôlerie, tant par le jeu de tous les acteurs que p ar l’intervention musicale et les trouvailles scéniques. » (LES NOUVELLES DU VAL-DE-MARNE)
    « C’est un comique inattendu que révèle la mise en scène, celui de la subtile intelligence s’amusant des pitoyables fantômes qui s’agitent, qui s’ébrouent, dans leur vulgarité. Cette addition de niveaux de rires superposés engendre un feu d’artifice de gags d’une poésie souvent burlesque. » (ANTONY HEBDO)

Dany Tayarda, Brigitte Carré, Raymond Bisbal et Elisabeth Rambert dans Le Prix Martin

Georges Beauvilliers dans Le Prix Martin

Daniel Dubois, Olivier Proust et Langlet et Elisabeth Rambert dans Le Prix Martin

 

COMPAGNIES THÉÂTRALES

(CO-DIRIGÉES AVEC DANY TAYARDA)

  • Le Soleil Interdit (1966-67).
    Production d’un spectacle à la MJC Paris-Charonne (futur Théâtre des Deux Portes).
    Café-théâtre du Bar du Centre durant tout le Festival d’Avignon 1967 (premières productions « Off Festival »).
  • Café-Théâtre Le Colbert (Paris). Plusieurs spectacles produits en 1968.
  • C.A.R.R.N. (Centre Artistique de Recherches et de Réalisations Novatrices), organisme (également co-dirigé par Edouard Berreur) ayant conçu, construit et animé le STUDIO D’IVRY (1969-77), lieu permanent de créations plastiques et théâtrales.
  • Compagnie Dany Tayarda - Jean-Louis Sarthou (1974-85), structure permanente (100 à 200 représentations par an) subventionnée par le Ministère de la Culture et plusieurs Conseils Généraux d’Ile-de-France. Productions au Studio d’Ivry et dans des théâtres parisiens, tournées à l’étranger, dans des établissements d’action culturelle de la décentralisation, ainsi que dans des collèges et lycées d’Ile-de-France.
  • Théâtre à Orly (1983-85), établissement doté d’une convention avec la ville d’Orly, subventionné par le Ministère de la Culture et le Conseil Général du Val-de-Marne.

Jean-Louis Sarthou dans la salle de répétition
et d'exposition du Studio d'Ivry

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